Scout pour Manchester United chez les jeunes et l’Olympique de Marseille chez les professionnels, Mathieu Seckinger nous propose un éclairage sur son parcours, sa vision du rôle de scout et du processus de recrutement associé.
Chaque dimanche vous recevrez des idées sur l’analyse du jeu, l’entrainement ou encore l’apprentissage.
Comment êtes-vous arrivé au football ?
J’ai commencé à jouer au foot très tôt, quand j’avais quatre ou cinq ans. Avant même de pouvoir avoir une licence. Mon père était éducateur de jeunes dans le club de foot de mon village et mon grand-père a été arbitre.
Nous habitions rue du Stade d’ailleurs, à 150m de celui-ci. Ce sont eux qui m’ont amené à être passionné par le football. Cette passion familiale m’anime encore aujourd’hui.
À quel moment êtes-vous passé du terrain au banc ?
A la faculté des sports à Nancy. En deuxième année, l’une des exigences du cursus était d’avoir une équipe sous sa responsabilité. Etant en spécialité football j’ai pris la responsabilité des U13 de l’Olympique Haussonville, un club quasiment adossé à la faculté des sports. Le club cherchait des éducateurs à ce moment-là et c’était l’opportunité d’y faire ce contrôle continue en termes d’encadrement pédagogique.
En parallèle j’ai continué à jouer au niveau amateur. Il me semble avoir toujours eu cette fibre de l’entrainement. Quand j’étais petit, je m’amusais à dessiner des systèmes de jeu dans des cahiers, à dire qui devait tirer les coups francs, etc.
Au bout d’une année avec les U13 de l’Olympique Haussonville, j’ai eu la chance de basculer à l’AS Nancy-Lorraine comme adjoint U13, avec le responsable de l’école de foot Benjamin Brat. Tout s’est fait de manière assez naturelle et fluide.
J’ai ensuite pris la charge des U12 & U13, la responsabilité de l’école de foot et j’ai accompagné les U17 Nat., comme dirigeant puis adjoint. Mon parcours universitaire m’a vraiment aidé à structurer mon approche, en terme de contenu, de pédagogie, etc. C’est aussi lors de ma première année à entrainer que j’ai commencé à passer les diplômes d’éducateur : en commençant par l’initiateur 1 jusqu’au brevet d’état par la suite.
Lorsqu’on a la charge d’une équipe, on peut avoir tendance à se focaliser sur les aspects collectifs. Lorsqu’on est scout, on peut avoir tendance à se focaliser sur les aspects individuels. Comment votre expérience d’éducateur nourrit votre approche de l’observation et du recrutement ?
Effectivement, je m’appuie énormément sur ce que j’ai pu faire et vivre en tant qu’éducateur, même si ce sont des rôles assez différents. Lorsque j’étais éducateur, l’aspect collectif était fondamental, même si j’ai toujours considéré que le collectif était un cadre qui permettait aux individualités de s’exprimer.
Cette expérience me permet d’avoir une certaine compréhension du comportement des joueurs, des systèmes de jeu, de l’animation, car ce sont des choses que j’ai pu mettre en place et vivre de l’intérieur. Lorsque je vais observer un match, lors des premières minutes de jeu je m’attache toujours à essayer de comprendre ce que les coachs veulent mettre en place (système et animation).
Ensuite, je vais me focaliser sur la performance individuelle. Néanmoins, cette dernière est dépendante du cadre collectif et doit toujours être contextualisée.
Lorsqu’on a été éducateur ou entraîneur et que l’on devient scout, la problématique à laquelle nous pouvons être confronté, c’est de ne pas arriver à transposer notre évaluation aux aspects purement individuels. L’objectif étant d’extraire un joueur d’un collectif et de l’imaginer dans un autre.
Cependant, j’estime qu’avoir entrainé est une force et une richesse de ce point de vue. Cela m’a permis de développer un certain nombre de repères à travers les catégories que j’ai pu encadrer, les joueurs que j’ai pu accompagner. J’ai pu observer leur manière de fonctionner et de s’adapter à leur contexte.
D’ailleurs récemment, certains clubs valorisent cet aspect dans leurs annonces de recherche de scout, lorsqu’ils précisent que les profils « éducateurs » sont appréciés.
Dans certains pays, il semble assez simple et courant de naviguer entre différents métiers techniques du football. Un éducateur peut envisager d’être scout, un préparateur physique peu devenir entraineur, etc. En France, cela semble plus cloisonné.
Je crois qu’un profil éducateur peut vite basculer vers le scouting/recrutement, en développant rapidement une certaine compréhension de l’observation et du recrutement. À l’inverse, cela semble parfois plus délicat pour ceux qui n’ont fait que du scouting, de basculer dans la conception et l’animation de séances, dans le développement de joueurs et d’équipes. Mais je crois aussi qu’en France, il y a plus de barrières.
De manière générale, il y a déjà des barrières pour l’accession à certaines formations lorsqu’on n’est pas issu du sérail. C’est une problématique que j’ai vécu personnellement. La bascule est plus facile à faire dans un sens que dans l’autre. Certains se spécialisent vraiment dans le scouting, dans ce métier de l’observation et ne sont pas forcément intéressés par le coaching.
Lorsque j’observe un match cela m’arrive de me demander : qu’est ce que j’aurais proposé à l’échauffement ? Quelle animation pour l’équipe ? Pourquoi l’équipe est mise en difficulté à ce moment- là
? Observer, c’est une chose. Concevoir des séances pour remédier à ce que l’on a pu observer, dans le cadre d’une planification d’entraînement, c’est autre chose.
Mais c’est vrai qu’en France, on a une approche qui est un petit peu plus cloisonné par rapport à l’étranger. Un certain nombre de collègues avec lesquels j’ai travaillé à Manchester United, étaient à la base des éducateurs, qui sont ensuite devenus des recruteurs de grand talent.
L’identification du « talent » est une tâche difficile car c’est un processus où l’on essaie de déterminer un futur à partir d’indicateurs observables à un instant T. Comment appréhendez-vous cet aspect ?
Pour moi, lorsqu’on parle de talent chez un jeune joueur, cela fait d’abord référence à des qualités innées. Je m’appuie sur mon expérience afin d’identifier les qualités à l’instant T et j’essaie de déterminer la marge de progression qui est forcément liée aux facteurs mentaux & environnementaux dans la progression des jeunes joueurs.
La grande difficulté de notre métier, c’est effectivement de différencier la performance à l’instant T de la projection que l’on va devoir réaliser. Chez un jeune joueur je vais m’attacher à observer ce que je nomme comme les marqueurs de haut niveau à travers les qualités démontrées et observables. Un jeune joueur ne peut pas être jugé qu’à travers la performance car celle-ci fluctue énormément et il est difficile de trouver de la régularité.
La différence se fait là entre l’observation d’un jeune et d’un joueur plus confirmé sur cette capacité à devoir reproduire de la performance. Il est évident que tous meilleurs réunissent assez rapidement talent/performance dans le football de jeune puis professionnel.
Après dans la projection il faut aussi prendre en compte l’intégration d’un individu à une nouvelle culture si changement de pays & parfois même au sein même d’un pays en changeant de région, un nouveau club, un nouveau système, etc. En somme, un environnement qui est complètement différent.
L’expérience cumulée par un scout permet de réduire la marge d’erreur, même si celle-ci ne sera jamais nulle. On ne peut malheureusement pas lire l’avenir dans des boules de cristal et le processus de recrutement est quelque chose de complexe car il s’agit d’hommes avant d’être des footballeurs.
C’est un processus qui requiert du recul, d’avoir beaucoup de repères associés à des joueurs que l’on a soit entraînés, soit accompagnés ou observés/analysés et dont on a pu suivre l’évolution dans le temps. Lorsqu’on intègre un club comme Manchester United, par exemple, il est indispensable d’effectuer une analyse sur ce qui s’est fait par le passé. Quelles ont été les réussites ? Quels ont été les échecs ? Cela donne énormément de matière et c’est un travail que j’ai effectué sur les Français passés par cet immense club pour mieux appréhender l’histoire du club.
Il faut être très humble dans sa fonction de recruteur afin d’éviter les écueils de ce métier. J’essaie au maximum de me focaliser sur les capacités footballistiques en termes d’analyse, tout en profilant le joueur sur ses attributs mentaux et comportementaux, puis de collecter un maximum d’informations annexes sur et en dehors du terrain afin d’avoir une évaluation la plus juste possible même si celle-ci restera propre à moi-même et de fait subjective.
Plus nous avons de connaissances sur le joueur, que ce soit sur le terrain ou en dehors, plus nous aurons de chance de l’évaluer avec précision et de le projeter dans le recrutement. Néanmoins, malgré tout ce que nous entreprenons, il reste une part d’inconnu plus ou moins importante. Même pour un joueur que l’on a identifié, dans son contexte du moment, comme étant un potentiel top player ou un joueur avec des qualités exceptionnelles, le faire bouger dans un contexte différent ne garanti en rien à sa réussite.
Certains clubs, que ce soit dans le reporting, l’évaluation ou l’observation des joueurs, vont essayer de mettre un maximum d’outils possible à dispositions du scout. D’autres vont s’appuyer un peu plus sur l’expérience et ce que le scout pense et vit.
Personnellement, j’aime voir les joueurs en live et je fonctionne plus au feeling même si j’utilise les outils modernes à disposition tel que la data etc. D’autres vont être plus analytiques, avoir recours à la data et la vidéo principalement. Cela dépend vraiment des profils. Au fil des années, j’ai développé mon approche à travers mes diverses expériences, les réussites et les échecs vécus. Tous ces éléments continuent de nourrir mes connaissances et mes observations.
L’évaluation des performances futures d’un joueur est quelque chose de très subjectif et l’approche du processus d’observation et de recrutement va être propre à chacun et à chaque club. Certains clubs auront une méthodologie assez spécifique, avec des attentes précises, d’autres laisseront plus de liberté.
A United, vous avez plutôt travaillé sur les jeunes et à Marseille plutôt les pros. Comment avez- vous vécu cette transition ?
Il y a une vraie différence entre les deux. Les jeunes joueurs ne sont pas encore à maturité physique, mentale, technique. Nous devons essayer d’imaginer ou de penser ce qu’ils peuvent devenir et cela nous renvoie à la notion de projection de potentiel. Il faut imaginer ce qu’ils seront cinq ou six ans plus tard.
Nous sommes vraiment sur quelque chose de plus difficile en termes d’évaluation, parce qu’un certain nombre d’aspects ne dépendent pas que des qualités du footballeur, observées à un instant T. Il dépend de l’environnement, de comment il va grandir, de son développement intellectuel, des personnes qui l’accompagneront à travers l’entourage et ses entraineurs.
Lorsqu’on bascule sur les professionnels, on doit être focalisé le plus possible sur la performance. Si un club signe un garçon de 25, 26, 27 ans pour intégrer l’équipe première, il attendra de lui des performances quasi immédiates. Le joueur peut évidemment évoluer, mais la marge est plus infime que chez les jeunes.
Pour moi, même s’il peut y avoir des similitudes organisationnelles ce sont deux métiers différents et tout le monde ne peut pas forcément être à l’aise dans ces deux domaines. Certains sont très bons chez les jeunes, mais ont du mal à faire la bascule chez les pros parce que les demandes sont différentes. A l’inverse, certains scouts travaillant chez les pros, estiment qu’ils n’ont pas la capacité de redescendre et d’évaluer des garçons de 13-14 ans.
Pour faire ma transition, j’ai dû m’adapter parce que je pense être un spécialiste du football des jeunes par mes expériences à Nancy puis United. J’avais construit un certain nombre de repères associés aux joueurs ayant entre 12 et 18 ans.
Lorsque j’ai intégré la cellule de recrutement professionnel de l’Olympique de Marseille, même si je jouais un rôle sur les jeunes joueurs de 16 à 21 ans, on m’a aussi demandé d’évaluer des joueurs professionnels qui devaient tout de suite être prêts à être titulaires dans ce contexte-là, avec un système et un coach défini.
Que ce soit avec Jorge Sampaoli ou Igor Tudor, par exemple, nous connaissions très bien les attentes. Il m’a fallu un petit peu de temps pour m’adapter à ce nouveau contexte. J’avais moins de références et d’éléments en ma possession qui me permettaient d’être pertinent.
Néanmoins, comme lors de mon arrivé à United, il a fallu redoubler de travail et s’adapter pour répondre aux exigences. L’important c’est l’exigence et celle-ci je l’avais acquise en étant passé par Manchester United sur le très haut niveau.
L’une des différences majeures à noter aussi entre recrutement jeune et professionnel c’est le temps avant de voir le joueur évoluer en équipe première. Chez les jeunes, c’est un processus qui ne nous appartient pas réellement avec le système de pré-formation et formation à la suite de l’intégration d’un garçon en U13 ou U16 par exemple. Il va intégrer le cycle de formation et à partir de là c’est entre les mains des formateurs que le joueur va s’épanouir et se développer.
Le scout peut projeter un certain nombre de choses sur le futur d’un joueur et les entraineurs peuvent voir tout à fait autre chose. Cela peut être parfois frustrant. Pour un recrutement professionnel l’intégration du joueur est immédiate et il rentre dans la concurrence pour jouer. C’est différent, car l’impact doit être quasi immédiat. C’est le propre de notre métier.
Lors de votre étape à l’Olympique de Marseille, Jorge Sampaoli et Igor Tudor se sont succédés sur le banc marseillais. Deux entraineurs avec des styles sensiblement différents. Lorsqu’on est scout, comment s’adapte t’on à ce type de « grand écart » ?
C’est la complexité de notre métier, mais en même temps, c’est ce qui en fait quelque chose d’ultra passionnant. Nous essayons au maximum d’être dans l’instant en anticipant les fenêtres de recrutement qui arrivent pour améliorer l’équipe, par rapport à la direction du club et aux attentes du coach, son système, son animation. Il va aussi nous orienter vers différents profils, en fonction du football qu’il va vouloir pratiquer.
Pour autant, une cellule de recrutement et un recruteur ne doivent pas rester enfermé dans ces attentes- là, leur rôle est d’anticiper et d’avoir une vision à l’instant T mais aussi à moyen/long terme. A l’OM nous avons toujours considéré que notre travail était de répondre aux attentes du coach et de la direction, mais que nous devions aussi anticiper les changements potentiels.
Nous ne nous sommes jamais enfermés dans le système qui était prôné par Sampaoli, par exemple. L’idée est bien entendu de répondre à la demande directe, mais nous avions des alternatives en cas de changement de système et même de changement de coach.
Comme je l’ai dit précédemment, le maître mot d’une cellule de recrutement c’est : anticiper. Anticiper, même lorsqu’il n’y a pas de demande précise. De manière générale, tout peut aller très vite dans le football, avec la pression des résultats et les attentes. Du jour au lendemain, on peut vous dire « voilà, tout ce que vous avez ressorti comme joueurs potentiels ne correspond plus, parce que le coach va changer de système ou celui-ci va être remplacé ». Si tout cela n’a pas été anticipé, c’est très compliqué.
Nous devons donc toujours fait en sorte d’avoir des listes les plus élargies possibles, les plus complètes possibles et surtout les plus adaptables possibles. Pour nous, la problématique était d’aller chercher des joueurs qui correspondraient aux objectifs et attentes d’un club comme l’OM.
Lors d’une réunion, si l’on vous dit « le coach va basculer à quatre joueurs derrière, quelles alternatives avons-nous pour rééquilibrer l’effectif sur la prochaine fenêtre ? », il faut l’avoir anticipé et être capable de présenter différents joueurs et profils pour le même poste, en prenant en compte les aspects sportifs et économiques. Anticiper les problématiques et répondre rapidement aux différentes demandes, c’est la clé d’une cellule de recrutement qui se veut pro-active.
En résumé il faut avoir du recul, faire preuve d’adaptabilité, d’anticipation et avoir la capacité de répondre à court/moyen/long terme pour satisfaire les exigences du club.
Pour un scout, il peut parfois être difficile d’aligner ses propres convictions avec celles du club au sein duquel il opère. Comment approchez-vous cet aspect ?
La qualité première d’un scout, d’un recruteur, c’est de s’adapter à la demande, même si elle diverge de ses propres convictions sur le jeu ou les joueurs. Par exemple, sur les profils défensifs, je vais être sensible à des profils plutôt à l’aise avec le ballon, technique, bon relanceur, mobile.
En caricaturant un peu, lorsque j’arrive en Angleterre, cette sensibilité se heurte au fait que ce qui est prioritairement valorisé, c’est de gagner les duels, être dominant au sol et dans les airs, même si l’idéal est de trouver celui qui réunit tous ces éléments.
Ce à quoi je suis sensible n’est pas ce qui est recherché en premier lieu même si ça ne remet pas en cause le niveau ou la pertinence de proposer un joueur différent. Je dois essayer d’enfouir un peu certaines convictions pour coller au plus proche de ce que le club va demander sur les critères au poste et en rapport au championnat, à l’identité et la philosophie.
Ce qui différencie un très bon recruteur d’un bon recruteur, c’est sa capacité à s’adapter à l’environnement et aux attentes du club qu’il représente.
Certains clubs comme Brighton ou encore Newcastle, semblent s’éloigner de l’organisation de leur cellule de recrutement en fonction de zones géographiques, pour privilégier une organisation autour de postes. Que pensez-vous de cette approche ?
Aujourd’hui, il y a un poste qui demande une vraie spécificité, c’est le poste de gardien de but. Ça l’a été rapidement dans l’entrainement spécifique de celui-ci. Tous les scouts ne sont pas à même d’évaluer un gardien de but de manière précise. Nous sommes tous capables de dire si un gardien a des qualités, mais c’est plus difficile de proposer une évaluation fine et pointu sans être spécialiste du poste.
Les clubs vont tendre de plus en plus vers cette spécialisation et les Anglais, notamment, sont précurseurs en la matière. Tous les grands clubs ont un spécialiste du poste qui se déplace et qui réalise les observations pour ce rôle-là.
Après, aller vers ce qui peut se faire dans les sports US, en ayant des spécialistes des attaquants, des milieux et des défenseurs, je trouve que c’est un non-sens de différencier à ce point. Le rôle d’un recruteur, c’est d’avoir la capacité, à travers ses expériences et ce qui va lui être demandé, d’évaluer n’importe quel joueur de champ et d’être pertinent en fonction des critères au poste. Après au sein de cellule et en fonction des expériences/profils on peut avoir des scouts plus pertinents que d’autres sur certaines positions.
Je ne crois pas qu’il faille tomber à tous les niveaux dans l’individualisme. Peut-être qu’en termes de coaching, cela peut être intéressant d’avoir des spécialistes par ligne, mais en termes de recrutement, ça ne me paraît pas être fondamental comme orientation bien que je reconnaisse que c’est une organisation qui peut avoir du sens relativement au zonage géographique souvent pratiqué que vous évoquez.
Les Anglais sont assez précurseurs sur un certain nombre de choses et différentes tailles de structures et d’organisations s’opposent. Ceux qui ont raisons sont ceux qui ont des résultats.
Brighton est un modèle de réussite sur les années récentes en termes de recrutement, mais aussi d’intégration des joueurs à un modèle de jeu dans un championnat extrêmement difficile. L’important pour les clubs est d’avoir une méthodologie et une organisation qui lui permettent d’être pertinent et efficace dans l’obtention des résultats souhaités dans un contexte hyper concurrentiel
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